Prat
Petite commune du nord-ouest des Côtes-d’Armor, Prat (1 118 habitants) est située entre Lannion (à 15 km) et Guingamp (19 km).
La présence d’un menhir et d’un tumulus et diverses découvertes archéologiques attestent d’une occupation du territoire au Néolithique.
A l’époque gallo-romaine, la voie Carhaix-Tréguier passe par Prat.
Démembrement de la paroisse primitive de Cavan, le village possède au Moyen Age une résidence d’été des évêques de Tréguier et l’abbaye cistercienne de Bégard, les Templiers et les Hospitaliers y sont possessionnés. Sous l’Ancien Régime, la paroisse regroupe deux trèves, Trévoazan et Fougeraye-Rouge. Elle relève du diocèse de Tréguier et a Lannion pour subdélégation et pour ressort.
Prat a été chef-lieu de canton entre 1790 et 1801.
La présence d’un menhir et d’un tumulus et diverses découvertes archéologiques attestent d’une occupation du territoire au Néolithique.
A l’époque gallo-romaine, la voie Carhaix-Tréguier passe par Prat.
Démembrement de la paroisse primitive de Cavan, le village possède au Moyen Age une résidence d’été des évêques de Tréguier et l’abbaye cistercienne de Bégard, les Templiers et les Hospitaliers y sont possessionnés. Sous l’Ancien Régime, la paroisse regroupe deux trèves, Trévoazan et Fougeraye-Rouge. Elle relève du diocèse de Tréguier et a Lannion pour subdélégation et pour ressort.
Prat a été chef-lieu de canton entre 1790 et 1801.
Construite en 1622, elle se révèle rapidement trop petite et des remaniements doivent être entrepris dès 1674. D’importantes édifications ont lieu en 1684-1685 et entre 1718 et 1731. Le bas-côté sud est rallongé en 1811.
Le campanile installé au centre de la faîtière de la toiture est supprimé vers 1830 et la cloche vendue à la fabrique de Mantallot.
Le campanile installé au centre de la faîtière de la toiture est supprimé vers 1830 et la cloche vendue à la fabrique de Mantallot.