Priziac
Petite commune du nord-ouest du Morbihan, Priziac (1 025 habitants) est située en centre Bretagne, près du Faouët, à 43 kilomètres au nord de Lorient et à 35 km à l’ouest de Pontivy.
Vaste en superficie, la commune se compose de près de 150 villages et hameaux.
L’occupation humaine du territoire est attestée au Néolithique par la présence de monuments mégalithiques.
Priziac entra dans l’histoire en 818, lorsque l’armée de l’empereur des Francs Louis Ier y fut victorieuse de celle du roi breton Morvan.
Au Moyen Age, les hospitaliers y établirent la commanderie de Beauvoir. 19 seigneuries relevant de l’abbaye Sainte-Croix de Quimperlé étaient recensées sur le territoire de Priziac, la plus importante étant celle de la Roche-Piriou. On peut également citer celle de Crémenec (dont le château fut pris par le célèbre bandit La Fontenelle en 1595). Le reste des terres appartenait aux hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Vaste en superficie, la commune se compose de près de 150 villages et hameaux.
L’occupation humaine du territoire est attestée au Néolithique par la présence de monuments mégalithiques.
Priziac entra dans l’histoire en 818, lorsque l’armée de l’empereur des Francs Louis Ier y fut victorieuse de celle du roi breton Morvan.
Au Moyen Age, les hospitaliers y établirent la commanderie de Beauvoir. 19 seigneuries relevant de l’abbaye Sainte-Croix de Quimperlé étaient recensées sur le territoire de Priziac, la plus importante étant celle de la Roche-Piriou. On peut également citer celle de Crémenec (dont le château fut pris par le célèbre bandit La Fontenelle en 1595). Le reste des terres appartenait aux hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Le bâtiment actuel a été entièrement reconstruit vers 1851 par le recteur Madec, à l’emplacement d’une chapelle dont la date d’édification est inconnue. La chapelle Notre-Dame a été restaurée en 1960.
Dépendance sous l’Ancien Régime de la seigneurie de Kergoat, la chapelle devint la propriétaire de la famille Harrington après 1850. Le bâtiment fut reconstruit en 1881 par le sculpteur lorientais Alphonse Lebrun, qui s’est inspiré des édifices religieux des XVe et XVIe s.
Elle est située à proximité de la chapelle Saint-Yves.
Elevée à la mémoire des sept hommes tués lors des combats de juillet 1944, cette plaque se trouve sur la route menant du Faouët à Plouray.