Quemper-Guézennec
Petite commune du nord des Côtes-d’Armor, Quemper-Guézennec (1 105 habitants) est située dans le Goëlo, sur la rive droite du Trieux, à 18 kilomètres au nord de Guingamp.
Fondée au VIe s. par le moine Gwezennec, la paroisse primitive du même nom englobait également à l’origine les territoires de Saint-Clet et Pontrieux. Elle relève d’abord de l’abbaye de Beauport avant d’être rattachée au diocèse de Tréguier en juin 1202.
Les seigneurs de Quemper et Pontrieux, devenus par la suite vicomtes, bâtissent le château de Frinaudour à la fin du XIIe s. Celui-ci est ruiné durant la guerre de Succession de Bretagne (XIVe s.).
La paroisse passe successivement entre les mais de diverses familles nobles (Penthièvre, Chateaubriand, Acigné, Plessis de Richelieu), les derniers seigneurs locaux étant les Fleuriot de Langle, qui émigrent durant la Révolution française.
La commune perd une partie de son territoire en 1842 au profit de Pontrieux.
Fondée au VIe s. par le moine Gwezennec, la paroisse primitive du même nom englobait également à l’origine les territoires de Saint-Clet et Pontrieux. Elle relève d’abord de l’abbaye de Beauport avant d’être rattachée au diocèse de Tréguier en juin 1202.
Les seigneurs de Quemper et Pontrieux, devenus par la suite vicomtes, bâtissent le château de Frinaudour à la fin du XIIe s. Celui-ci est ruiné durant la guerre de Succession de Bretagne (XIVe s.).
La paroisse passe successivement entre les mais de diverses familles nobles (Penthièvre, Chateaubriand, Acigné, Plessis de Richelieu), les derniers seigneurs locaux étant les Fleuriot de Langle, qui émigrent durant la Révolution française.
La commune perd une partie de son territoire en 1842 au profit de Pontrieux.
Bâti en 1884 par l’ingénieur Louis Harel de La Noé sur la voie ferrée Guingamp-Paimpol, il permet de franchir la vallée du Leff (près de sa confluence avec le Trieux), entre Quemper-Guézennec et Plourivo. Des pierres récupérées sur les ruines de l’ancienne de forteresse de Frinaudour ont servi à sa construction.