Riantec
Commune du sud-ouest du Morbihan, Riantec (5 907 habitants) est située sur la « petite mer de Gâvres », à 14 kilomètres de Lorient.
La présence de mégalithes atteste d’une occupation humaine de la région dès Le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec, Riantec englobe à l’origine également les territoires des actuelles communes de Gâvres, Locmiquélic et Port-Louis. Religieusement, elle dépend du diocèse de Vannes et du doyenné de Pou-Belz.
Elle relève au Moyen Age de la châtellenie de Nostang-Hennebont, puis de celle de Kersabiec (XVIe s.).
Pendant des siècles, la population se compose essentiellement de paysans-pêcheurs (sardines au XIXe s., puis thons).
La commune de Riantec est amputée en 1867 du territoire de Gâvres et en 1919 de celui du de Locmiquélic.
La présence de mégalithes atteste d’une occupation humaine de la région dès Le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec, Riantec englobe à l’origine également les territoires des actuelles communes de Gâvres, Locmiquélic et Port-Louis. Religieusement, elle dépend du diocèse de Vannes et du doyenné de Pou-Belz.
Elle relève au Moyen Age de la châtellenie de Nostang-Hennebont, puis de celle de Kersabiec (XVIe s.).
Pendant des siècles, la population se compose essentiellement de paysans-pêcheurs (sardines au XIXe s., puis thons).
La commune de Riantec est amputée en 1867 du territoire de Gâvres et en 1919 de celui du de Locmiquélic.
Dite aussi chapelle Notre-Dame-des-Anges, elle est construite au début du XVe s. au village de pêcheurs de Kerner.
Construite au XVIe ou au début du XVIIe s. entre le bourg de Riantec et Stervins, elle était à l’origine isolée dans la lande et relevait de la seigneurie de Kersabiec.
Il est construit en 1854 pour remplacer alors les deux moulins à vent qui servaient jusqu’alors à donner l’alignement de la passe occidentale de la rade de Lorient. Bien que située sur le territoire de Riantec, cette « tour à feu » (du breton tourtan) appartient en fait à la ville de Port-Louis.