Saint-Aignan-Grandlieu
Commune du centre de la Loire-Atlantique, Saint-Aignan-Grandlieu (3 912 habitants) est située sur la rive nord du lac de Grandlieu, dans le pays de Retz, à quinze kilomètres au sud-ouest du centre de Nantes.
Selon la légende d’Herbauges, le lac de Grandlieu serait apparu au VIe s. après que le diacre Martin ait maudit la cité d’Herbavilla et ses habitants qui refusaient de se convertir.
La présence de mégalithes et les traces d’habitats sur pilotis attestent d’une occupation humaine du territoire au Néolithique. Les Celtes établissent par la suite deux camps à l’embouchure de l’Ognon.
Les Vikings sont présents sur le lac dès 847 et en 836, une bataille a opposé ceux-ci à Alain II à Saint-Aignan.
La paroisse était à l’origine dédiée à Saint-Amand. Plusieurs châteaux sont bâtis sur le territoire à l’époque médiévale.
La commune bénéficie à la fin du XXe s. de sa proximité avec Nantes et la zone aéroportuaire.
Selon la légende d’Herbauges, le lac de Grandlieu serait apparu au VIe s. après que le diacre Martin ait maudit la cité d’Herbavilla et ses habitants qui refusaient de se convertir.
La présence de mégalithes et les traces d’habitats sur pilotis attestent d’une occupation humaine du territoire au Néolithique. Les Celtes établissent par la suite deux camps à l’embouchure de l’Ognon.
Les Vikings sont présents sur le lac dès 847 et en 836, une bataille a opposé ceux-ci à Alain II à Saint-Aignan.
La paroisse était à l’origine dédiée à Saint-Amand. Plusieurs châteaux sont bâtis sur le territoire à l’époque médiévale.
La commune bénéficie à la fin du XXe s. de sa proximité avec Nantes et la zone aéroportuaire.
La première église aurait été fondée au VIIIe s. L’édifice actuel, construit au XVIe s., a été modifié entre le XVIIe et le XVIIIe s.