Saint-Brandan
Petite commune du centre des Côtes-d’Armor, Saint-Brandan (2 369 habitants) est située près de Quintin, à 19 kilomètres au sud-ouest de Saint-Brieuc.
La présence gauloise à l’âge du fer est attestée par l’existence du site du Rillan.
Démembrement de la paroisse primitive de Plaintel, Saint-Brandan trouve probablement son origine dans la fondation d’un ermitage par les immigrés bretons du Ve ou VIe s.
Sous l’Ancien Régime, le village relève religieusement du diocèse de Saint-Brieuc et a le duc de Lorge pour seigneur.
Le chef chouan Boishardy s’y réfugie de 1794 à 1795.
La commune est amputée à deux reprises d’une partie de son territoire : en 1829 au profit de Lanfains (Le Pas) et en 1837 à l’avantage de Quintin (sept villages).
La présence gauloise à l’âge du fer est attestée par l’existence du site du Rillan.
Démembrement de la paroisse primitive de Plaintel, Saint-Brandan trouve probablement son origine dans la fondation d’un ermitage par les immigrés bretons du Ve ou VIe s.
Sous l’Ancien Régime, le village relève religieusement du diocèse de Saint-Brieuc et a le duc de Lorge pour seigneur.
Le chef chouan Boishardy s’y réfugie de 1794 à 1795.
La commune est amputée à deux reprises d’une partie de son territoire : en 1829 au profit de Lanfains (Le Pas) et en 1837 à l’avantage de Quintin (sept villages).
En dépit de son nom, cette gare est située dans la commune de Saint-Brandan, sur la ligne Saint-Brieuc - Pontivy, ouverte en 1871 et fermée aux voyageurs le 31 août 2006.