Saint-Coulitz
Petite commune du centre du Finistère, Saint-Coulitz (418 habitants) est située dans une boucle de l’Aulne, près de Châteaulin, à 24 kilomètres au nord de Quimper.
Démembrement de la paroisse primitive de Plonévez-Porzay au XIIe s., Saint-Coulitz est au siècle suivant le centre administratif d’un territoire, le Parc-au-Duc, que le duc Jean Ier fit clore d’un mur long d’une trentaine de kilomètres et dont faisait partie également Châteaulin.
Relevant du diocèse de Cornouaille, la paroisse fut touchée par la révolte des Bonnets rouges en 1675.
Des forges installées à Coatigrac’h fournirent des canons et des boulets à la marine jusqu’au début du XVIIe s. C’est au même endroit que fut construite en 1887 une usine hydroélectrique qui permit à Châteaulin d’être la troisième ville de France pourvue en électricité !
Le village de Saint-Coulitz connut une notoriété nationale lorsque son maire (élu en 1989), Kofi Yamgnane, un ingénieur d’origine togolaise, devint secrétaire d’Etat chargé de l’intégration (1991-1993).
Démembrement de la paroisse primitive de Plonévez-Porzay au XIIe s., Saint-Coulitz est au siècle suivant le centre administratif d’un territoire, le Parc-au-Duc, que le duc Jean Ier fit clore d’un mur long d’une trentaine de kilomètres et dont faisait partie également Châteaulin.
Relevant du diocèse de Cornouaille, la paroisse fut touchée par la révolte des Bonnets rouges en 1675.
Des forges installées à Coatigrac’h fournirent des canons et des boulets à la marine jusqu’au début du XVIIe s. C’est au même endroit que fut construite en 1887 une usine hydroélectrique qui permit à Châteaulin d’être la troisième ville de France pourvue en électricité !
Le village de Saint-Coulitz connut une notoriété nationale lorsque son maire (élu en 1989), Kofi Yamgnane, un ingénieur d’origine togolaise, devint secrétaire d’Etat chargé de l’intégration (1991-1993).
Cette petite chapelle fut construite vers 1621 à Troboa, à flanc de vallée. Un pardon y est toujours célébré.
Haut de 5 mètres, il est élevé au XVIe s. Le Christ en Croix est encadré des larrons. Au revers sont représentés une Pietà et un Christ de l’Apocalypse assis sur un arc-en-ciel.
Située sur les hauteurs dominant la chapelle Saint-Laurent, cette croix monolithe, haute seulement de un mètre, présente un Crucifix en relief.
Proche de la chapelle du même nom, elle est également appelée fontaine de Troboas. Construite au XVIIe s. son eau avait la réputation de guérir l’eczéma.