Saint-Frégant
Petite commune du Nord-Finistère, Saint-Frégant (546 habitants) se trouve en Bas-Léon, près de Lesneven, à 28 kilomètres au nord-est de Brest.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouseny, Saint-Frégant demeura une trève de Guissény jusqu’en 1791. Jusqu’à cette époque, elle releva de l’ancien évêché de Léon et de l’archidiaconé de Kemenet-Ily.
Une grande scierie fut établie à la fin du XIXe s. près du château de Kergoff.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouseny, Saint-Frégant demeura une trève de Guissény jusqu’en 1791. Jusqu’à cette époque, elle releva de l’ancien évêché de Léon et de l’archidiaconé de Kemenet-Ily.
Une grande scierie fut établie à la fin du XIXe s. près du château de Kergoff.
Couronnée d’un toit en poivrière et percée d’ouvertures à couleuvrine, cette tour fortifiée date de la seconde moitié du XVIe s. Le bâtiment accolé est de style Renaissance léonarde. Au-delà du portail se trouve le château de Penmarc’h, construit au XVe ou au début du XVIe s.
Haute de 2,20 m, cette croix pattée fut érigée au haut Moyen Age. Les faces sont gravées d’un outil (houlette), d’un côté, et d’une arme (angon), de l’autre.
La niche de cette fontaine, localisée à Keravézan, abrite une statue du XVIe s. représentant l’une des légendes entourant saint Guénolé.
Le fondateur du monastère de Landévennec tient dans une main une oie sauvage et dans l’autre l’œil de sa petite sœur Clervie que l’animal aurait avalé. Le saint ouvrit le ventre de l’oiseau, remis en place l’organe et, grâce à un signe de croix, rendit la vue à sa sœur
Le fondateur du monastère de Landévennec tient dans une main une oie sauvage et dans l’autre l’œil de sa petite sœur Clervie que l’animal aurait avalé. Le saint ouvrit le ventre de l’oiseau, remis en place l’organe et, grâce à un signe de croix, rendit la vue à sa sœur