Saint-Gilles-les-Bois
Petite commune du nord des Côtes-d’Armor, Saint-Gilles-les-Bois (409 habitants) est située à 36 kilomètres au nord-ouest de Saint-Brieuc.
Mentionnée pour la première fois en 1325, le village, trève de Pommerit-le-Vicomte, porte alors le nom de Saint-Gilles-le-Vicomte.
Berceau de la famille noble Kermoysan, Saint-Gilles voit l’implantation des templiers et des hospitaliers au Moyen Age.
La paroisse de Saint-Gilles n’est établie qu’en 1715. Sous l’Ancien Régime, elle relève de l’ancien diocèse de Tréguier, de la subdélégation de Guingamp, du ressort royal de Lannion et a pour seigneur le duc de Lorge.
Durant la Révolution la commune devient chef-lieu de canton et est rebaptisée « Bellevue ».
En 1833, Saint-Gilles-les-Bois cède l’enclave de Kerionou à la commune voisine de Trévérec.
Mentionnée pour la première fois en 1325, le village, trève de Pommerit-le-Vicomte, porte alors le nom de Saint-Gilles-le-Vicomte.
Berceau de la famille noble Kermoysan, Saint-Gilles voit l’implantation des templiers et des hospitaliers au Moyen Age.
La paroisse de Saint-Gilles n’est établie qu’en 1715. Sous l’Ancien Régime, elle relève de l’ancien diocèse de Tréguier, de la subdélégation de Guingamp, du ressort royal de Lannion et a pour seigneur le duc de Lorge.
Durant la Révolution la commune devient chef-lieu de canton et est rebaptisée « Bellevue ».
En 1833, Saint-Gilles-les-Bois cède l’enclave de Kerionou à la commune voisine de Trévérec.
Cette ancienne chapelle domestique du manoir de la famille Coëtmohan date du XIVe s. pour ses éléments les plus anciens (premières travées et porte sud). Devenue chapelle tréviale de Pommerit puis succursale, elle est modifiée aux XVIIe (clocher) et XVIIIe s. (nef, porche).
L’édifice actuel, construit de 1879 à 1880 selon les plans de l’abbé Herviou, a remplacé un précédent bâtiment, édifié en 1680 et détruit en 1877.