Saint-Jacques-de-la-Lande
Commune du centre de l’Ille-et-Vilaine, Saint-Jacques-de-la-Lande est située dans la banlieue sud-ouest de Rennes. Avec ses 13 087 habitants (2017), elle est la septième ville la plus peuplée du département. Elle abrite l’aéroport de Rennes.
Jusqu’aux défrichements de l’époque médiévale, la région fait partie de la grande forêt de Montmohon/Mouscon. A partir du XIIe s., l’église paroissiale de Sainbt-Jacques-la-Forêt appartient à l’abbaye rennaise de Saint-Georges. Les évêques de Rennes y possèdent un manoir seigneurial et les templiers de la commanderie de la Guerche y étaient également possessionnés.
L’église de Saint-Jacques est mise à sac par les protestants pendant les guerres de religion de la fin du XVIe s.
La commune de Saint-Jacques est créée en 1790.
L’aéroport civil de Rennes est construit à Saint-Jacques à partir de 1932.
La présence d’un camp d’aviation a fait de Saint-Jacques une cible pour les bombardements alliés durant la Seconde Guerre mondiale.
Des industries s’installent dans la commune après-guerre, et notamment Citroën dans les années 1960.
Jusqu’aux défrichements de l’époque médiévale, la région fait partie de la grande forêt de Montmohon/Mouscon. A partir du XIIe s., l’église paroissiale de Sainbt-Jacques-la-Forêt appartient à l’abbaye rennaise de Saint-Georges. Les évêques de Rennes y possèdent un manoir seigneurial et les templiers de la commanderie de la Guerche y étaient également possessionnés.
L’église de Saint-Jacques est mise à sac par les protestants pendant les guerres de religion de la fin du XVIe s.
La commune de Saint-Jacques est créée en 1790.
L’aéroport civil de Rennes est construit à Saint-Jacques à partir de 1932.
La présence d’un camp d’aviation a fait de Saint-Jacques une cible pour les bombardements alliés durant la Seconde Guerre mondiale.
Des industries s’installent dans la commune après-guerre, et notamment Citroën dans les années 1960.
L’église actuelle a été construite de 1850 à 1852 selon les plans de l’architecte Jacques Mellet.
Il a été élevé au XIXe s. Il est entouré par un cercle de tombes d’enfants.
Ce monument commémoratif, réalisé en 1955, honore la mémoire des 76 résistants exécutés durant l’occupation, entre septembre 1940 et août 1944, en ce site des champs de La Maltière utilisé à partir de 1937 comme stand de tir par l’armée française. Il rappelle notamment le souvenir des 25 communistes jugés à Rennes, condamnés à mort pour « terrorisme », vols d’explosifs et actes de sabotage, et fusillés le 30 décembre 1942. Le plus jeune, Maurice Fourrier, n’avait que 19 ans, le plus âgé 43.