Saint-Jean-du-Doigt
Petite commune du Nord-Finistère, Saint-Jean-du-Doigt (636 habitants) se trouve dans le Petit Trégor, à 16 kilomètres au nord de Morlaix.
Baignée par la Manche, la commune tient son nom d’une relique conservée dans l’église : la phalange d’un index de Saint-Jean-Baptiste. Ce qui en fit un lieu de pèlerinage.
Démembrement de la paroisse primitive de Plougasnou, Saint-Jean-de-Doigt n’acquiert son indépendance qu’en 1789.
Baignée par la Manche, la commune tient son nom d’une relique conservée dans l’église : la phalange d’un index de Saint-Jean-Baptiste. Ce qui en fit un lieu de pèlerinage.
Démembrement de la paroisse primitive de Plougasnou, Saint-Jean-de-Doigt n’acquiert son indépendance qu’en 1789.
Unique vestige d’un ancien alignement, il est situé près du château de Kerprigent.
Construite par le seigneur Le Coail en 1601, elle est remaniée dès 1621 et restaurée par une association de 1975 à 1978. Autrefois, on y trouvait un cimetière (ouvert en 1786 et fermé en 1886) et un ossuaire.
Il a été construit vers 1584-1585 par l’architecte Jean Le Taillanter. Fermé jusqu’au début du XXe s. par une porte en bois, le grand portail en ogive est encadré par les statues de saint Jean-Baptiste et saint Roch.
Haute de 4 mètres, elle est élevée en 1785 ou 1786. Au revers du Crucifix figure saint Mélar couronné.
Erigé en 1877, il fait 7 mètres de haut. On y trouve la mention en breton « Mission de 1877 0 va Jesus Trugarez Kant Devez Induljansou ».
Cette vasque a été construite en 1688 par l’architecte Yves Lageat pour remplacer une précédente fontaine édifiée au XVIe s. Les statues de plomb représentent notamment Dieu le père se penchant vers son fils et saint Jean-Baptiste baptisant le Christ.
Datant des années 1562-1572, cette résidence du gouverneur ecclésiastique de la chapelle Saint-Jean-Baptiste fut agrandie au XVIIe s.