Saint-Lyphard
Gros bourg du nord-ouest de la Loire-Atlantique, Saint-Lyphard (4 265 habitants) est située dans la partie nord-ouest du parc naturel régional de Brière, à vingt kilomètres au nord de Saint-Nazaire.
Au IXe ou Xe s., des moines venus de l’abbaye Saint-Lyphard de Meung-sur-Loire, près d’Orléans, viennent y établir un monastère et une paroisse, cédés au prieuré augustinien de Nivillac à la fin du XIIe s.
Dans la seconde moitié du XVe s., le duc de Bretagne François II autorise les habitants à exploiter la tourbe des marais de Brière.
La principale seigneurie locale, Crévy, dépendait autrefois de la baronnie de Pontchâteau.
Du XVIIIe s. à 1880, la commune abrite un grand nombre de tisserands.
Le premier maire de Saint-Lyphard, Julien Landeau, échappe miraculeusement à la première grande noyade organisée par Carrier en novembre 1793.
D’août 1944 au 11 mai 1945, la commune est comprise dans la poche de Saint-Nazaire.
En 1970, la commune est incluse dans le parc naturel régional de Brière.
Au IXe ou Xe s., des moines venus de l’abbaye Saint-Lyphard de Meung-sur-Loire, près d’Orléans, viennent y établir un monastère et une paroisse, cédés au prieuré augustinien de Nivillac à la fin du XIIe s.
Dans la seconde moitié du XVe s., le duc de Bretagne François II autorise les habitants à exploiter la tourbe des marais de Brière.
La principale seigneurie locale, Crévy, dépendait autrefois de la baronnie de Pontchâteau.
Du XVIIIe s. à 1880, la commune abrite un grand nombre de tisserands.
Le premier maire de Saint-Lyphard, Julien Landeau, échappe miraculeusement à la première grande noyade organisée par Carrier en novembre 1793.
D’août 1944 au 11 mai 1945, la commune est comprise dans la poche de Saint-Nazaire.
En 1970, la commune est incluse dans le parc naturel régional de Brière.
Son utilisation se poursuit pour perpétuer les traditions du village.