Saint-Nicolas-du-Pélem
Petite commune du centre des Côtes-d’Armor, Saint-Nicolas-du-Pélem (1 760 habitants) est située en Haute-Cornouaille, dans le pays Fañch, à 43 kilomètres au sud-ouest de Saint-Brieuc.
La présence de mégalithes atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique. Celui-ci est traversé par la voie romaine Carhaix-Corseul dans l’Antiquité.
Les Bretons du haut Moyen Age élèvent diverses fortifications (au Rossil, à Kérimarc’h, etc.).
Démembrement de la paroisse primitive de Pligeaux, le village actuel trouve son origine religieuse dans l’établissement de la paroisse de Bothoa, qui dépendait de la baronnie de Quintin.
Ce n’est que dans la première moitié du XIXe s. que le hameau de Saint-Nicolas remplace Bothoa comme centre principal de la commune (en 1836, le siège communal est transféré à Saint-Nicolas). La paroisse n’est transférée elle qu’en 1860.
La Résistance est très active dans la région au cours de la Seconde Guerre mondiale, et les représailles allemandes sont nombreuses (arrestation et déportation d’habitants, résistants tués).
La présence de mégalithes atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique. Celui-ci est traversé par la voie romaine Carhaix-Corseul dans l’Antiquité.
Les Bretons du haut Moyen Age élèvent diverses fortifications (au Rossil, à Kérimarc’h, etc.).
Démembrement de la paroisse primitive de Pligeaux, le village actuel trouve son origine religieuse dans l’établissement de la paroisse de Bothoa, qui dépendait de la baronnie de Quintin.
Ce n’est que dans la première moitié du XIXe s. que le hameau de Saint-Nicolas remplace Bothoa comme centre principal de la commune (en 1836, le siège communal est transféré à Saint-Nicolas). La paroisse n’est transférée elle qu’en 1860.
La Résistance est très active dans la région au cours de la Seconde Guerre mondiale, et les représailles allemandes sont nombreuses (arrestation et déportation d’habitants, résistants tués).
Relevant de la seigneurie de Beaucours, l’édifice, mentionné dès 1447, est construit dans un style cornouaillais entre la fin du XVe s. (chœur et transept) et le début du XVIe s. (clocher) par les Malestroit. Diverses restaurations et remaniements ont eu lieu par la suite, notamment en 1882.
Le pardon se déroule le 1er septembre.
Le pardon se déroule le 1er septembre.
Située au bourg de Saint-Nicolas, en contrebas de l’église, cette fontaine, également dite « du Daourit », date du début du XVIIe s. Elle alimentait autrefois un lavoir, aujourd’hui disparu. Long de neuf mètres, pour sept m de large, l’enclos abrite cinq bassins.