Saint-Quay-Perros
Petite commune du nord-ouest des Côtes-d’Armor, Saint-Quay-Perros (1 469 habitants) est située dans le Trégor, près de Perros-Guirec, à sept kilomètres au nord de Lannion.
La présence d’une allée couverte atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Pleumeur-Bodou, Saint-Quay dépend sous l’Ancien Régime du ressort de Lannion et relève religieusement du diocèse de Tréguier. En 1841, la paroisse de Saint-Quay devient une simple succursale de celle de Perros-Guirec.
En 1921, la commune prend pour nom officiel Saint-Quay-Perros pour ne plus être confondue avec Saint-Quay-Pontrieux.
La présence d’une allée couverte atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Pleumeur-Bodou, Saint-Quay dépend sous l’Ancien Régime du ressort de Lannion et relève religieusement du diocèse de Tréguier. En 1841, la paroisse de Saint-Quay devient une simple succursale de celle de Perros-Guirec.
En 1921, la commune prend pour nom officiel Saint-Quay-Perros pour ne plus être confondue avec Saint-Quay-Pontrieux.
Construite vers 2 200 avant J.-C., cette sépulture collective, fouillée entre 1963 et 1966, fait 28,5 mètres de long pour 9 m de large et 2 m de hauteur. Elle possède une entrée latérale qui donne sur une chambre intérieure longue de 15,8 m.
Typique des chapelles de style gothique régional construites dans le Trégor au XVIe s., celle-ci est édifiée en 1538 par la famille seigneuriale locale des Hingant.
Située près de la chapelle Saint-Méen, elle date probablement du XIXe s. L’eau de la fontaine avait autrefois la réputation de guérir les maladies de peau, notamment la gale.