Saint-Rivoal
Située au pied des monts d’Arrée, la toute petite commune de Saint-Rivoal ne compte que 171 habitants. Elle se trouve à 50 kilomètres à l’est de Brest.
Fondée au croisement de deux voies romaines (Quimper-Morlaix et Carhaix-Hanvec), Saint-Rivoal est un démembrement de la paroisse primitive de Brasparts. Elle ne devint indépendante qu’en 1837 (paroisse) et 1925 (commune).
Sous l’Ancien Régime, elle dépendit de l’ancien diocèse de Cornouaille. A cette époque, une grande partie de son territoire était la propriété des cisterciens de l’abbaye du Relec (Plounéour-Ménez), des moines de Daoulas ou des hospitaliers de La Feuillée.
Fondée au croisement de deux voies romaines (Quimper-Morlaix et Carhaix-Hanvec), Saint-Rivoal est un démembrement de la paroisse primitive de Brasparts. Elle ne devint indépendante qu’en 1837 (paroisse) et 1925 (commune).
Sous l’Ancien Régime, elle dépendit de l’ancien diocèse de Cornouaille. A cette époque, une grande partie de son territoire était la propriété des cisterciens de l’abbaye du Relec (Plounéour-Ménez), des moines de Daoulas ou des hospitaliers de La Feuillée.
Erigée par les hommes du Néolithique, la « Roche du Diable » est située sur l’un des versants du mont Saint-Michel-des-Brasparts. La foudre a coupé en deux le menhir au milieu du XXe s.
Le bâtiment actuel, en forme de croix latine, est construit par l’architecte Théodore Boyer entre 1838 et 1943.
Ce petit édifice rectangulaire fut construit de 1672 à 1674 (restauré en 1821 et 1892), au sommet de la montagne Saint-Michel, par un seigneur de Kermabon. Elle fut endommagée lors de la Seconde Guerre mondiale.
Haut de 5 mètres, il est élevé en 1525 et restauré en 1811. Le Crucifix est encadré des statues de saint Jean de la Vierge. Au revers, un ange orant surmonte une Vierge à l’Enfant.
Présentant une avancée (apoteiz) et un escalier sous auvent, cette ferme est construite en 1702. Restaurée au XIXe s., elle est acquise en 1968 par le département et transformée en « écomusée des monts d’Arrée ». L’ensemble du site présente divers éléments présents autrefois dans les campagnes bretonnes, la maison elle-même étant meublée à l’ancienne.