Trébrivan
Petite commune du sud-ouest des Côtes-d’Armor, Trébrivan (683 habitants) est située dans le Poher, à 8 kilomètres au nord-est de Carhaix et à 43 km au sud-ouest de Guingamp.
Traversée par la voie romaine Carhaix-Corseul, Trébrivan est issue du démembrement de la paroisse primitive de Plouguer. Le premier bourg est fondé avant le XIe s. au Moustoir.
Sous l’Ancien Régime, Trébrivan relève religieusement du diocèse de Cornouaille et du doyenné de Maël-Carhaix, et, civilement ; de la subdélégation et du ressort de Carhaix.
En 1843, la paroisse de Trébrivan perd la succursale de Treffrin.
Le 29 juin 1944, des soldats allemands, aidés par des miliciens du Bezen Perrot, y organisent une rafle de résistants.
Traversée par la voie romaine Carhaix-Corseul, Trébrivan est issue du démembrement de la paroisse primitive de Plouguer. Le premier bourg est fondé avant le XIe s. au Moustoir.
Sous l’Ancien Régime, Trébrivan relève religieusement du diocèse de Cornouaille et du doyenné de Maël-Carhaix, et, civilement ; de la subdélégation et du ressort de Carhaix.
En 1843, la paroisse de Trébrivan perd la succursale de Treffrin.
Le 29 juin 1944, des soldats allemands, aidés par des miliciens du Bezen Perrot, y organisent une rafle de résistants.
L’église actuelle a remplacé au XIXe s. un édifice du XVe ou XVIe s. Sa construction s’est faite en deux étapes : Henri Guérin a bâti le chevet et le transept entre 1872 et 1873 et la nef a été édifiée entre 1887 et 1889 par Ernest Le Guerrannic.
Fondée par le seigneur de Rosmadec, frère de l’évêque de Vannes, elle est construite en 1627 au bourg de Trébrivan.
Encadré par deux statues représentant des chevaliers, il comprend dans sa partie supérieure une pietà récupérée sur le calvaire de la chapelle Notre-Dame-de-la-Clarté de Loconan, élevé au XIXe s.