Trémuson
Petite commune du centre des Côtes-d’Armor, Trémuson est située à 6 kilomètres à l’ouest du centre de Saint-Brieuc.
Dans l’Antiquité, le territoire de l’actuelle commune est traversé par la voie romaine allant de Corseul à Morlaix.
La paroisse de Trémuson est fondée au haut Moyen Age à partir de terres enlevées à la paroisse de Plerneuf. Du XIIe au début du XVe s., le château fort de La Roche-Suhart est le siège d’une puissante seigneurie féodale. Il est remplacé par la suite par un autre château construit à La Morandais par la famille de Couvran.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse relève du comté du Goëlo et dépend de l’évêché de Saint-Brieuc. Avant la Révolution, elle avait pour seigneur le duc de Penthièvre.
A partir du milieu du XIXe s., des mines de plomb argentifère sont exploitées à Trémuson. Jusqu’à 300 mineurs français et 200 étrangers, principalement des Polonais, sont présents sur le site à l’apogée de l’activité, entre 1926 et 1928. La fermeture de la mine en 1931 entraîne le départ de ces familles étrangères.
Des combats de la Libération s’y déroulèrent en août 1944.
Dans l’Antiquité, le territoire de l’actuelle commune est traversé par la voie romaine allant de Corseul à Morlaix.
La paroisse de Trémuson est fondée au haut Moyen Age à partir de terres enlevées à la paroisse de Plerneuf. Du XIIe au début du XVe s., le château fort de La Roche-Suhart est le siège d’une puissante seigneurie féodale. Il est remplacé par la suite par un autre château construit à La Morandais par la famille de Couvran.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse relève du comté du Goëlo et dépend de l’évêché de Saint-Brieuc. Avant la Révolution, elle avait pour seigneur le duc de Penthièvre.
A partir du milieu du XIXe s., des mines de plomb argentifère sont exploitées à Trémuson. Jusqu’à 300 mineurs français et 200 étrangers, principalement des Polonais, sont présents sur le site à l’apogée de l’activité, entre 1926 et 1928. La fermeture de la mine en 1931 entraîne le départ de ces familles étrangères.
Des combats de la Libération s’y déroulèrent en août 1944.
Devenue trop petite, la vieille église du XVe s. est détruite en 1870 et un nouvel édifice est aussitôt édifié selon les plans de l’architecte Théodore Maignan. Après deux ans de construction, le bâtiment est béni le 12 mai 1872.