Tréogan
Petite commune du sud-ouest des Côtes-d’Armor, Tréogan (103 habitants) est frontalière à la fois du Finistère et du Morbihan. Proche de Carhaix, elle est située en centre Bretagne, à 60 kilomètres au sud-ouest de Guingamp, à 53 km au nord-est de Quimper et à 60 km au nord de Lorient.
Traversé par la voie romaine Corseul-Quimper, le territoire est occupé par les Bretons au VIe ou VIIe s., mais ceux-ci s’implantent d’abord à Coz-Tréogan (« Vieux Tréogan »). Ce n’est que bien plus tard que le centre de la commune se déplace au bourg actuel.
Démembrement de la paroisse primitive de Plévin, Tréogan relève jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Cornouaille. La paroisse dépend sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Carhaix.
Tréogan est touchée par la révolte des Bonnets rouges (Papier timbré) à l’été 1675.
Chef-lieu de canton sous la Révolution, la commune voit sa paroisse supprimée à la même époque, pour être rattachée à celle de Plévin jusqu’en 1844.
Traversé par la voie romaine Corseul-Quimper, le territoire est occupé par les Bretons au VIe ou VIIe s., mais ceux-ci s’implantent d’abord à Coz-Tréogan (« Vieux Tréogan »). Ce n’est que bien plus tard que le centre de la commune se déplace au bourg actuel.
Démembrement de la paroisse primitive de Plévin, Tréogan relève jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Cornouaille. La paroisse dépend sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Carhaix.
Tréogan est touchée par la révolte des Bonnets rouges (Papier timbré) à l’été 1675.
Chef-lieu de canton sous la Révolution, la commune voit sa paroisse supprimée à la même époque, pour être rattachée à celle de Plévin jusqu’en 1844.
Edifiée entre 1563 et 1566 comme simple chapelle dépendant de l’église de Langonnet, elle est reconstruite en 1965.