Belle-Isle-en-Terre
Petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Belle-Isle-en-Terre (1 100 habitants) se trouve sur le Léguer, à vingt-et-un kilomètres de Guingamp.
Elle trouve son origine dans un petit monastère fondé au IXe s. à Locmaria par des moines venus de l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé. Une autre tradition évoque une fondation par le peuple des Lexoviens, chassés du Yaudet (Ploulec'h) par les Vikings.
Démembrement de la paroisse primitive de Louargat, Belle-Isle faisait partie au XIIe-XIIIe s. du duché de Penthièvre. A cette époque, les moines de Daoulas y fondent un hôpital pour soigner croisés et pèlerins.
Situé sur le grand axe routier Paris-Brest, Belle-Isle-en-Terre dépend de l'ancien diocèse de Tréguier jusqu'à la Révolution.
Les tanneries, exploitations forestières et moulins emploient de nombreux habitants jusque dans les années 1950, tandis que la forêt de Coat-an-Noz est réputée pour ses sabotiers (environ 130 au début du XXe s.).
Elle trouve son origine dans un petit monastère fondé au IXe s. à Locmaria par des moines venus de l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé. Une autre tradition évoque une fondation par le peuple des Lexoviens, chassés du Yaudet (Ploulec'h) par les Vikings.
Démembrement de la paroisse primitive de Louargat, Belle-Isle faisait partie au XIIe-XIIIe s. du duché de Penthièvre. A cette époque, les moines de Daoulas y fondent un hôpital pour soigner croisés et pèlerins.
Situé sur le grand axe routier Paris-Brest, Belle-Isle-en-Terre dépend de l'ancien diocèse de Tréguier jusqu'à la Révolution.
Les tanneries, exploitations forestières et moulins emploient de nombreux habitants jusque dans les années 1950, tandis que la forêt de Coat-an-Noz est réputée pour ses sabotiers (environ 130 au début du XXe s.).
Située au village de Locmaria, elle trouve sans doute son origine dans la fondation en ces lieux d'un prieuré monastique, probablement établi par les templiers. Les bâtiments datent pour l'essentiel des XVe et XVIe s. La sacristie est bâtie à la fin du XVIIIe s. Des restaurations sont entreprises aux XIXe et XXe s. Autrefois, on venait y implorer Notre-Dame pour obtenir la guérison de la coqueluche.
Construit en 1950 dans le cimetière de la chapelle de Locmaria, selon les plans d'Armel Beaufils, il ressemble aux ossuaires.
La porte principale du mausolée provient d'une ancienne chapelle de Trégrom. Un escalier mène à la crypte où se trouvent les gisants de Lady Mond, née Marie-Louise Le Manac'h, et de son époux Sir Robert Mond, le « roi du nickel ».
La porte principale du mausolée provient d'une ancienne chapelle de Trégrom. Un escalier mène à la crypte où se trouvent les gisants de Lady Mond, née Marie-Louise Le Manac'h, et de son époux Sir Robert Mond, le « roi du nickel ».
Lady Mond fit construire plusieurs édifices dans la région, dont la villa Lady Mond à Plestin-les-Grèves.
Située dans la forêt au nord de la ville, sur les hauteurs dominant la vallée du Léguer, la fontaine, qui date du XVIe s. est accessible par un escalier de 110 marches. Son eau miraculeuse était censée guérir les enfants souffrant de la coqueluche.
Elle est située une centaine de mètres plus bas que la chapelle de Locmaria.