Beuzec-Cap-Sizun
Petite commune de Cornouaille, sur la côte nord du Cap-Sizun, Beuzec-Cap-Sizun (1 074 habitants) est située à 15 kilomètres à l’ouest de Douarnenez et à 37 km de Quimper.
Elle dispose de seize kilomètres de côtes, essentiellement des falaises (pointe du Millier), donnant sur la baie de Douarnenez.
Démembrement de la paroisse primitive de Plogoff, elle tient son nom de saint Budoc. La trève de Pont-Croix dépendait autrefois de Beuzec-Cap-Sizun. La commune attira de nombreux peintres a la fin du XIXe s., parmi lesquels Henri Matisse (1895-1896).
Elle dispose de seize kilomètres de côtes, essentiellement des falaises (pointe du Millier), donnant sur la baie de Douarnenez.
Démembrement de la paroisse primitive de Plogoff, elle tient son nom de saint Budoc. La trève de Pont-Croix dépendait autrefois de Beuzec-Cap-Sizun. La commune attira de nombreux peintres a la fin du XIXe s., parmi lesquels Henri Matisse (1895-1896).
Située à Kerbalannec, la « maison des Korrigans » mesure 11 mètres de long, pour 2,2 m de large et 1,9 m de hauteur. Elle fut fouillée en 1879.
Cette stèle cannelée a été érigée par les Celtes de l’âge du Fer.
Dédiée également à Saint-Budoc, elle fut édifiée à la fin du XVe et modifiée au XVIIe s. Entièrement détruite par un incendie le 13 décembre 1936, elle fut reconstruite à l’identique.
En forme de croix latine, elle date du XVIIe s.
La chapelle de Sant-Spe, en breton, est construite vers le XVIIe s. Vendue comme bien national durant la Révolution française, elle est rachetée par la fabrique en 1820.
Un pardon s’y déroule le premier dimanche d’août.
Un pardon s’y déroule le premier dimanche d’août.
Construite à l'origine à Lannuign, en Beuzec-Cap-Sizun, cette chapelle est démontée et rebâtie en 1651 au village de Landiguentel, à Esquibien.
Elle est détruite durant la Révolution mais son clocher est récupéré pour remplacer celui de l'église de Goulien.
Elle se trouve à quelques mètres de la chapelle du même nom
Elevée en 1624, on y venait laver ses yeux malades, dans l’espoir d’une guérison.
Un petit escalier de trois marches mène à l’enclos abritant cette fontaine.
Proche de la pointe du Milier, il date de 1868. Inactif depuis 1960, il comporte une grande roue métallique de huit mètres de diamètre.