Le Cloître-Pleyben
Petite commune du centre du Finistère, Le Cloître-Pleyben (572 habitants) est située entre Châteaulin et Carhaix, à 33 kilomètres au nord-est de Quimper.
La présence de vestiges, tels que des souterrains, atteste d’une présence humaine du territoire dès le Néolithique. A l’époque gallo-romaine, la voie Crozon-Carhaix passait par Le Cloître-Pleyben.
Au Moyen Age, une motte féodale fut établie à Kerrouet, tandis que les templiers y fondèrent un établissement et que l’abbaye de Landévennec y possédait des terres (Saint-Voirin).
Démembrement de la paroisse de Pleyben, Le Cloître relevait autrefois de l’ancien diocèse de Cornouaille. La paroisse ne fut érigée que lors du concordat de 1801. Elle prit le nom de Cloître-Pleyben en 1955.
La présence de vestiges, tels que des souterrains, atteste d’une présence humaine du territoire dès le Néolithique. A l’époque gallo-romaine, la voie Crozon-Carhaix passait par Le Cloître-Pleyben.
Au Moyen Age, une motte féodale fut établie à Kerrouet, tandis que les templiers y fondèrent un établissement et que l’abbaye de Landévennec y possédait des terres (Saint-Voirin).
Démembrement de la paroisse de Pleyben, Le Cloître relevait autrefois de l’ancien diocèse de Cornouaille. La paroisse ne fut érigée que lors du concordat de 1801. Elle prit le nom de Cloître-Pleyben en 1955.
Situé au village de Coat-an-Illis-Ven (« bois de l’église blanche »), l’édifice a été construit au XVIe s. par les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem (chevaliers de Malte).
La chapelle actuelle a été reconstruite en 1763 à l’emplacement d’un précédent édifice qui appartenait aux moines de Landévennec au Moyen Age.
Construit en 1657, il est transféré à Plougastel-Daoulas en 1954.
Haut de 5,50 m, ce calvaire a été érigé au XVIe s. et restauré en 1836. Le Christ et, au revers, la Vierge à l’Enfant, sont tous deux surmontés d’un angelot. Celui du côté oriental couronne la Vierge.
De fondation ancienne, cette fontaine de dévotion fut reconstruite en 1824.