Riec-sur-Belon
Commune du sud-est du Finistère, Riec-sur-Belon (4 129 habitants) est située, entre les fleuves côtiers de l’Aven et du Belon, à 12 kilomètres de Quimperlé et à 36 kilomètres de Quimper.
Plusieurs monuments mégalithiques attestent d’une occupation humaine importante au Néolithique. A l’époque gallo-romaine, le territoire de la commune était traversé par deux voies romaines (Quimper-Vannes et Moëlan-Carhaix).
Probablement paroisse primitive, Riec englobait autrefois également une partie du Trévoux et de Bannalec.
La famille noble de Guer de Pontcaller domina la paroisse pendant six siècles (XIIIe-XVIIIe s.).
L’élevage des huîtres plates se développa au XIXe s. C’est en 1898 que fut rajouté « Belon » au nom de Riec.
Au XXe s., la commune, proche de Pont-Aven et de l’océan, devint une station touristique.
Plusieurs monuments mégalithiques attestent d’une occupation humaine importante au Néolithique. A l’époque gallo-romaine, le territoire de la commune était traversé par deux voies romaines (Quimper-Vannes et Moëlan-Carhaix).
Probablement paroisse primitive, Riec englobait autrefois également une partie du Trévoux et de Bannalec.
La famille noble de Guer de Pontcaller domina la paroisse pendant six siècles (XIIIe-XVIIIe s.).
L’élevage des huîtres plates se développa au XIXe s. C’est en 1898 que fut rajouté « Belon » au nom de Riec.
Au XXe s., la commune, proche de Pont-Aven et de l’océan, devint une station touristique.
Aussi appelé dolmen de Loyan ou Loj-Korrigan (« repaire des Korrigans »), ce petit ensemble est composé de trois piliers et d’une table.
Construite aux XVe et XVIe s. à Riec-sur-Belon, elle tombait en ruines au début du XXe s. et fut démontée en 1919. Rachetée en 1925 par le député Charles Leboucq, elle fut reconstruite en 1936 à Concarneau, au Cabellou. Cliquer ici.